«Mais Carrà avait déjà choisi une autre voie. Destiné à servir les raisons propres à la peinture, et bien plus convaincu que de Chirico de la signification spirituelle intrinsèque aux formes italiennes, il nous présenta alors une série d'acrostiches sibyllins, qui trouvent néanmoins en eux-mêmes la force de leur propre solution.»
Roberto Longhi, L'arte di Carlo Carrà, dans Mostra di Carlo Carrà, catalogue de l'exposition, Palazzo Reale, Milan, avril – mai 1962, p. 21